La découverte d'un mets nouveau fait plus pour le genre humain que la découverte d'une étoile
La découverte d'un mets nouveau fait plus pour le genre humain que la découverte d'une étoile ("Inventio novi ferculi plura generi humano contribuit quam novae stellae inventio"), aphorismus Francogallicus, ab Ioanne Anthelmo Brillat-Savarin in opere Physiologie du goût anno 1826 divulgatus est. Ille amico Henrion de Pansey(fr) adscripsit (vide varietates 25).[1]
Idem aphorismus sicut epigraphon operis The Gastronomic Regenerator ab Alexi Soyer anno 1846 editi usurpatur.[2]
Notae[recensere | fontem recensere]
- ↑ Ioannes Anthelmus Brillat-Savarin, Physiologie du goût (Lutetiae: Sautelet, 1825/1826) vol. 2 pp. 423-425
- ↑ Alexis Soyer, The Gastronomic Regenerator (1846) praeliminaria
Bibliographia[recensere | fontem recensere]
- Jean-Anthelme Brillat-Savarin, Physiologie du gout, ou Méditations de gastronomie transcendante: ouvrage théorique, historique et a l'ordre du jour, dédié aux gastronomes parisiens, par un professeur, membre de plusieurs sociétés littéraires et savantes (Lutetiae: Sautelet, 1825/1826) vol. 1 p. ix